une recherche qui laisse un goût amer
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une recherche qui laisse un goût amer
par Laure Mar 22 Jan - 21:53
Parfois on n‘a pas fini de se poser des questions, j’aimerais tant avoir l’avis de mon chien dans ces cas là.
Il y a de cela 8 jours, alors qu‘on était à la chasse au petit gibier , un chasseur nous interpelle , il a vu du sang dans une culture un peu plus loin.
Il se trouve que les voisins chassent le gros gibier , ils ont dû blesser un animal.
Nous avions vu passer un JCB devant nous mais il n‘était pas blessé, un autre chasseur lui en revanche a vu passer une biche blessée semble t il à la patte arrière ...
Peu de temps après alors que nous remontions aux voitures en fin de chasse , une camionnette arrive , ce sont les chasseurs voisins , ils cherchent leur animal blessé. On retrouve une trace à l‘entrée d‘un bois , 3 chiens au moins chiens y sont allés on les avait vus y entrer de loin ...
Après discussion Nono explique qu‘il est conducteur de chien de sang et se propose de revenir plus tard pour entamer la recherche, l’animal ayant été tiré un peu avant 10h , rendez-vous est pris pour 14h30.
Nous arrivons donc au RDV à l‘heure dite , le temps des présentations avec les autres membres de la chasse dont deux jeunes qui se proposent pour nous suivre, et nous allons à l‘anschuss, je conduis le chien, c‘est ma reprise au bout de la longe depuis mon opération.
Le chien n‘attend pas d‘être à l‘anschuss il repère la piste en traversant le chemin le voilà le nez au sol , il y a du sang , Enko ne s‘embarrasse pas des détails il sait ce qu‘on lui demande.
Nous sommes dans du bois plutôt clair , il travaille calmement , vérifiant plusieurs fois ses arrières, au bout d’un moment nous passons dans la chasse voisine ( la notre donc) la végétation sur cette parcelle est plus dense avec des ronces au sol que le chien évite en sautant par dessus ou carrément en les contournant pour retrouver sa piste plus loin, nous avançons gentiment dans ce bois que Nono et moi connaissons bien c’est le terrain de chasse du Diwan le dimanche matin .
Nous parvenons maintenant non loin de la lisière du bois , le chien tourne et vire sur une zone de ronciers , il semble avoir perdu sa piste , il cherche, il y a bien une coulée qui sort vers les cultures mais elle ne l’inspire pas il fait quelques dizaines de mètres en retour puis à nouveau une grande boucle , pendant que les accompagnateurs cherchent des indices , le chien finalement prend plus à gauche et sort enfin vers les cultures et c’est bien lui qui a raison puisqu’au passage je trouve une goutte de sang .
Nous voici à présent dans une culture de blé , le terrain est souple on y voit nettement les pieds de plusieurs grands animaux, c’est une autoroute ... , notre biche est bien passée par là une goutte de sang dans un pied puis une autre un peu plus loin le confirment et moi je pense de plus en plus à la balle de patte.
La traversée nous emmène vers le petit bois , où le matin nous avons vu plusieurs chiens s’engouffrer , j’appréhende un peu la transition craignant que la piste soit polluée , mais Enko n’hésite pas , il rentre dans le bois sans se poser de question , je ne cherche pas d’indice il a l’air sûr de lui , la traversée du bois ne se fera pas en ligne droite , c’est étonnant cette biche n’a pas été au plus simple , je suis le chien sans indice visible pour moi , les suiveurs en verront ce qui me rassure.
Nous sortons de ce bois par une jachère, traversons une petite route pour reprendre une autre culture de colza celle-ci , deux gouttes de sang dans la terre confirmeront le travail du chien .
La encore la biche ne va pas en ligne droite , qu’importe nous voici au bord de la départementale , j’arrête le chien pour laisser passer les voitures qui ne ralentissent même pas en nous voyant ... aucun indice sur la route mais vu la circulation c’est normal , nous sommes maintenant dans une immense prairie où je n’ai d’autre choix que de faire confiance au chien , en plus depuis que nous sommes à découvert un vent de travers doit déplacer la piste , le chien avance en zigzaguant, au loin un autre bois , je me dis que si on perd la piste on pourra toujours faire la lisière pour la retrouver...
C’était compter sans l’entêtement d’Enko , qui pose le nez sur une touffe d’herbe au milieu de cette prairie et bingo du sang , je suis contente ...
Quelques ronciers à passer avant d’entrer dans une zone de régénération et nous voici dans des baliveaux , le chien toujours appliqué, je laisse la longe au sol pour plus de simplicité sinon on va s’emmêler là dedans. Tout d’un coup le chien ralentit et lève le nez, serait-elle devant ? l’avons nous relevée? Enko a le nez haut et je m’apprête à le libérer si besoin , mais il ne réclame pas et reprend son pistage au sol , nous poursuivons donc dans ce bois avant d’arriver en bord de champ il longe côté bois , puis veut descendre un talus vers une ancienne carrière , je suis étonnée , mais en descendant pour le suivre force est de constater qu’il a cette fois encore raison , une petite projection de sang sur une pierre confirme qu’elle est passée par là, en attendant moi en bout de longe je descends sur le cul !
Arrivé dans cette carrière nous allons tourner pratiquement 20 mn , le chien boucle et rebouche il fait toutes les sorties mais aucune ne lui convient , on repart du haut , en vain, une fois en bas c’est le grand néant.
Un collègue à qui on avait demandé de se placer sur la route en contre bas pour intercepter la biche au cas où, nous appelle pour nous dire qu’il y a une goutte de sang dans une coulée qui passe la route . Nous décidons de le rejoindre on est à 500 ou 600m le chien devrait reprendre son pistage plus bas .
Une fois dans cette coulée il traverse la route , puis s’engage sur un pont qui traverse la rivière , il ne reste que 3 poutres pour passer ce pont faut pas glisser , et la biche est passée par là, je passe en suivant Enko sans trop de conviction mais en y regardant de très près un accompagnateur a trouvé 1 goutte de sang sur une feuille sur la poutre... sauf que de l’autre côté le chien ne trouvera aucune sortie fiable , il les fait toutes avec méthode , mais n’en retient aucune .
Cela devient de plus en plus compliqué, où donc est passée cette biche ? nous sommes dans un champ d’herbe haute entre deux bras de la Drouette , nous allons le faire de long en large en vain , le chien ne trouvera plus rien , on se dit que la biche est passée par la rivière et l’on longe les 2 rives espérant trouver une sortie , peine perdue ...
De l’autre côté c’est un marais on le fera aussi mais rien ...
En désespoir de cause on retourne sur la route pour voir si elle ne serait pas repartie en arrière , toutes les coulées montantes seront passées au crible par le nez du chien et 4 paires d’yeux humains mais décidément ... rien
Nous décidons d’aller au château , d’abord obtenir une autorisation d’entrée ce qui ne fut pas une mince affaire mais la diplomatie d’un des accompagnateurs vint à bout des réticences des propriétaires .
Nous voici donc dans un domaine privé, on décide de traverser à nouveau la rivière cette fois ci c’est le bain de pied assuré il n’y a pas de poutre... nous allons explorer l’autre partie du marais inaccessible autrement, Enko ne sera pas inspiré , si la biche est entrée dans le domaine elle est peut-être dans les houx , il nous faut ressortir de ce marais , il est déjà 17h la nuit va tomber on s’affole un peu, 20 mn plus tard nous voici du côté des houx , il commence à faire très sombre , ici il y a des centaines de remises , on n’a d’autre choix que de miser sur le chien pour sentir quelque chose sur le chemin ...le chien ne relève rien ...17 h45 .
La mort dans l’âme on se résout à abandonner.
3 heures de pistage et quasiment 6,5 km au podomètre , c’est frustrant pour nous pour les chasseurs qui nous ont fait confiance et pour mon Enko qui a été sérieux et constant dans son travail ...
La recherche est ainsi faite de déceptions qui nous laissent un goût amer , et de réussites qui nous émerveillent ... Enko a fait son possible
Il y a de cela 8 jours, alors qu‘on était à la chasse au petit gibier , un chasseur nous interpelle , il a vu du sang dans une culture un peu plus loin.
Il se trouve que les voisins chassent le gros gibier , ils ont dû blesser un animal.
Nous avions vu passer un JCB devant nous mais il n‘était pas blessé, un autre chasseur lui en revanche a vu passer une biche blessée semble t il à la patte arrière ...
Peu de temps après alors que nous remontions aux voitures en fin de chasse , une camionnette arrive , ce sont les chasseurs voisins , ils cherchent leur animal blessé. On retrouve une trace à l‘entrée d‘un bois , 3 chiens au moins chiens y sont allés on les avait vus y entrer de loin ...
Après discussion Nono explique qu‘il est conducteur de chien de sang et se propose de revenir plus tard pour entamer la recherche, l’animal ayant été tiré un peu avant 10h , rendez-vous est pris pour 14h30.
Nous arrivons donc au RDV à l‘heure dite , le temps des présentations avec les autres membres de la chasse dont deux jeunes qui se proposent pour nous suivre, et nous allons à l‘anschuss, je conduis le chien, c‘est ma reprise au bout de la longe depuis mon opération.
Le chien n‘attend pas d‘être à l‘anschuss il repère la piste en traversant le chemin le voilà le nez au sol , il y a du sang , Enko ne s‘embarrasse pas des détails il sait ce qu‘on lui demande.
Nous sommes dans du bois plutôt clair , il travaille calmement , vérifiant plusieurs fois ses arrières, au bout d’un moment nous passons dans la chasse voisine ( la notre donc) la végétation sur cette parcelle est plus dense avec des ronces au sol que le chien évite en sautant par dessus ou carrément en les contournant pour retrouver sa piste plus loin, nous avançons gentiment dans ce bois que Nono et moi connaissons bien c’est le terrain de chasse du Diwan le dimanche matin .
Nous parvenons maintenant non loin de la lisière du bois , le chien tourne et vire sur une zone de ronciers , il semble avoir perdu sa piste , il cherche, il y a bien une coulée qui sort vers les cultures mais elle ne l’inspire pas il fait quelques dizaines de mètres en retour puis à nouveau une grande boucle , pendant que les accompagnateurs cherchent des indices , le chien finalement prend plus à gauche et sort enfin vers les cultures et c’est bien lui qui a raison puisqu’au passage je trouve une goutte de sang .
Nous voici à présent dans une culture de blé , le terrain est souple on y voit nettement les pieds de plusieurs grands animaux, c’est une autoroute ... , notre biche est bien passée par là une goutte de sang dans un pied puis une autre un peu plus loin le confirment et moi je pense de plus en plus à la balle de patte.
La traversée nous emmène vers le petit bois , où le matin nous avons vu plusieurs chiens s’engouffrer , j’appréhende un peu la transition craignant que la piste soit polluée , mais Enko n’hésite pas , il rentre dans le bois sans se poser de question , je ne cherche pas d’indice il a l’air sûr de lui , la traversée du bois ne se fera pas en ligne droite , c’est étonnant cette biche n’a pas été au plus simple , je suis le chien sans indice visible pour moi , les suiveurs en verront ce qui me rassure.
Nous sortons de ce bois par une jachère, traversons une petite route pour reprendre une autre culture de colza celle-ci , deux gouttes de sang dans la terre confirmeront le travail du chien .
La encore la biche ne va pas en ligne droite , qu’importe nous voici au bord de la départementale , j’arrête le chien pour laisser passer les voitures qui ne ralentissent même pas en nous voyant ... aucun indice sur la route mais vu la circulation c’est normal , nous sommes maintenant dans une immense prairie où je n’ai d’autre choix que de faire confiance au chien , en plus depuis que nous sommes à découvert un vent de travers doit déplacer la piste , le chien avance en zigzaguant, au loin un autre bois , je me dis que si on perd la piste on pourra toujours faire la lisière pour la retrouver...
C’était compter sans l’entêtement d’Enko , qui pose le nez sur une touffe d’herbe au milieu de cette prairie et bingo du sang , je suis contente ...
Quelques ronciers à passer avant d’entrer dans une zone de régénération et nous voici dans des baliveaux , le chien toujours appliqué, je laisse la longe au sol pour plus de simplicité sinon on va s’emmêler là dedans. Tout d’un coup le chien ralentit et lève le nez, serait-elle devant ? l’avons nous relevée? Enko a le nez haut et je m’apprête à le libérer si besoin , mais il ne réclame pas et reprend son pistage au sol , nous poursuivons donc dans ce bois avant d’arriver en bord de champ il longe côté bois , puis veut descendre un talus vers une ancienne carrière , je suis étonnée , mais en descendant pour le suivre force est de constater qu’il a cette fois encore raison , une petite projection de sang sur une pierre confirme qu’elle est passée par là, en attendant moi en bout de longe je descends sur le cul !
Arrivé dans cette carrière nous allons tourner pratiquement 20 mn , le chien boucle et rebouche il fait toutes les sorties mais aucune ne lui convient , on repart du haut , en vain, une fois en bas c’est le grand néant.
Un collègue à qui on avait demandé de se placer sur la route en contre bas pour intercepter la biche au cas où, nous appelle pour nous dire qu’il y a une goutte de sang dans une coulée qui passe la route . Nous décidons de le rejoindre on est à 500 ou 600m le chien devrait reprendre son pistage plus bas .
Une fois dans cette coulée il traverse la route , puis s’engage sur un pont qui traverse la rivière , il ne reste que 3 poutres pour passer ce pont faut pas glisser , et la biche est passée par là, je passe en suivant Enko sans trop de conviction mais en y regardant de très près un accompagnateur a trouvé 1 goutte de sang sur une feuille sur la poutre... sauf que de l’autre côté le chien ne trouvera aucune sortie fiable , il les fait toutes avec méthode , mais n’en retient aucune .
Cela devient de plus en plus compliqué, où donc est passée cette biche ? nous sommes dans un champ d’herbe haute entre deux bras de la Drouette , nous allons le faire de long en large en vain , le chien ne trouvera plus rien , on se dit que la biche est passée par la rivière et l’on longe les 2 rives espérant trouver une sortie , peine perdue ...
De l’autre côté c’est un marais on le fera aussi mais rien ...
En désespoir de cause on retourne sur la route pour voir si elle ne serait pas repartie en arrière , toutes les coulées montantes seront passées au crible par le nez du chien et 4 paires d’yeux humains mais décidément ... rien
Nous décidons d’aller au château , d’abord obtenir une autorisation d’entrée ce qui ne fut pas une mince affaire mais la diplomatie d’un des accompagnateurs vint à bout des réticences des propriétaires .
Nous voici donc dans un domaine privé, on décide de traverser à nouveau la rivière cette fois ci c’est le bain de pied assuré il n’y a pas de poutre... nous allons explorer l’autre partie du marais inaccessible autrement, Enko ne sera pas inspiré , si la biche est entrée dans le domaine elle est peut-être dans les houx , il nous faut ressortir de ce marais , il est déjà 17h la nuit va tomber on s’affole un peu, 20 mn plus tard nous voici du côté des houx , il commence à faire très sombre , ici il y a des centaines de remises , on n’a d’autre choix que de miser sur le chien pour sentir quelque chose sur le chemin ...le chien ne relève rien ...17 h45 .
La mort dans l’âme on se résout à abandonner.
3 heures de pistage et quasiment 6,5 km au podomètre , c’est frustrant pour nous pour les chasseurs qui nous ont fait confiance et pour mon Enko qui a été sérieux et constant dans son travail ...
La recherche est ainsi faite de déceptions qui nous laissent un goût amer , et de réussites qui nous émerveillent ... Enko a fait son possible
Laure- Admin
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Re: une recherche qui laisse un goût amer
par Loïc 44 Sam 26 Jan - 21:55
Il est difficile de faire comprendre aux chasseurs qu'il est impératif de laisser un animal blessé tranquille, pas de chien derrière, pas de remontée de piste à chaud.
Le fait de relever un animal réduit sérieusement les chances de le retrouver.
Peut être qu'en l'inscrivant noir sur blanc dans les schémas cynégétiques….??
Le fait de relever un animal réduit sérieusement les chances de le retrouver.
Peut être qu'en l'inscrivant noir sur blanc dans les schémas cynégétiques….??
Loïc 44- Messages : 40
Date d'inscription : 19/05/2017
Localisation : Loire Atlantique
Re: une recherche qui laisse un goût amer
par PIERRE12 Lun 28 Jan - 16:18
Mon Dieu que notre déduit est mal connu.
Il est déjà difficile de faire que l'on pense à nous, mais une fois appelés tout n'est pas réglé. Qu'il est compliqué d'obtenir ce laps de temps de tranquillité qui laisse au gibier la possibilité de se poser et s'enfiévrer.
Enfin, la réalité du terrain s'impose à nous. Nos chiens sont des champions, mais pas des magiciens pour autant et il y a les jours où toute la bonne volonté du monde ne suffit pas à relever un défaut.
Au chapitre du goût amer, j'ai reçu un coup de téléphone concernant une recherche faite il y a dix jours. Un ami n'avait pas réussi sur des indices lui laissant penser à une blessure grave. A sa demande je suis passé derrière lui (avec mes deux chiens successivement) pour me planter (deux fois d'affilé) au même endroit que lui. Aujourd'hui j'ai appris que notre animal avait été retrouvé ce week-end, à moins de 500m de nos déboires.
Il est déjà difficile de faire que l'on pense à nous, mais une fois appelés tout n'est pas réglé. Qu'il est compliqué d'obtenir ce laps de temps de tranquillité qui laisse au gibier la possibilité de se poser et s'enfiévrer.
Enfin, la réalité du terrain s'impose à nous. Nos chiens sont des champions, mais pas des magiciens pour autant et il y a les jours où toute la bonne volonté du monde ne suffit pas à relever un défaut.
Au chapitre du goût amer, j'ai reçu un coup de téléphone concernant une recherche faite il y a dix jours. Un ami n'avait pas réussi sur des indices lui laissant penser à une blessure grave. A sa demande je suis passé derrière lui (avec mes deux chiens successivement) pour me planter (deux fois d'affilé) au même endroit que lui. Aujourd'hui j'ai appris que notre animal avait été retrouvé ce week-end, à moins de 500m de nos déboires.
PIERRE12- Messages : 121
Date d'inscription : 16/05/2017
Localisation : AVEYRON
Re: une recherche qui laisse un goût amer
par Loïc 44 Lun 28 Jan - 19:18
Je pense que c'est la hantise de tout conducteur, la découverte du cadavre de l'animal recherché non loin d'un bout de piste inachevée... 
Loïc 44- Messages : 40
Date d'inscription : 19/05/2017
Localisation : Loire Atlantique
Re: une recherche qui laisse un goût amer
par Laure Lun 28 Jan - 22:44
Ça m’est arrivée une fois le sanglier que j’avais pisté durant 3,5 km , on butait sur un roncier sans trouver de sortie , j’abandonne à la demande du chasseur car il devait repartir , l’animal fut retrouvé mort non loin de là par la chasse voisine
Laure- Admin
- Messages : 202
Date d'inscription : 15/04/2017
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